Carole Dupuis milite à temps plein depuis 2014 pour une sortie rapide des énergies fossiles et pour une transition juste vers une société post-carbone. Elle est porte-parole du Mouvement écocitoyen UNEplanète, un regroupement qu’elle a contribué à créer pour promouvoir le plus efficacement possible le virage radical qui s’impose pour atténuer la crise climatique et stopper l’épuisement des ressources de la terre. Elle a été membre du comité de coordination du Front commun pour la transition énergétique de la création de cette coalition en 2015 jusqu’en mai 2022 et a présidé son conseil d’administration de novembre 2017 à juin 2021. Dans ce cadre, elle a poursuivi avec passion la lutte contre les projets d’énergies fossiles au Québec et joué un rôle central dans la mise sur pied et le déploiement du projet Québec ZéN, y compris la démarche de coconstruction de la Feuille de route pour la transition du Québec vers la carboneutralité, la mise en place du projet Collectivités ZéN et l’établissement de précieux partenariats. Québec ZéN est un ambitieux projet de dialogue social visant à coconstruire le Québec zéro émission nette de demain, plus résilient et plus juste.
En parallèle, Carole Dupuis a agi en tant que coordonnatrice générale et porte-parole du Regroupement vigilance hydrocarbures Québec (RVHQ), de 2015 à 2018. Elle a aussi cofondé en 2015 Saint-Antoine-de-Tilly – Milieu de vie, un groupe citoyen qui a été très actif dans la lutte contre le projet de pipeline Énergie Est et contre l’établissement du gaz de schiste dans la vallée du Saint-Laurent.
En 2009, après 30 ans de carrière dans le secteur privé, Carole Dupuis était devenue la première directrice générale de Projet Montréal, qui était alors un jeune parti proposant à la population montréalaise une autre façon de vivre en ville, centrée sur le développement durable, la saine gestion et la qualité de vie.
Auparavant, Carole Dupuis avait œuvré pendant la majeure partie de sa carrière comme consultante en planification stratégique et en communication auprès de la haute direction de grandes entreprises. Elle a aussi été directrice des communications et vice-présidente marketing de la Laurentienne Générale, qui était alors le deuxième assureur de dommages en importance au Canada. Elle détient un baccalauréat ès arts de l’Université de Montréal en communications, information et journalisme.