La mémoire doit nous projeter vers un nouveau projet pour un Québec solidaire. Où sont les porteurs qui, à la manière des militantes et militants des années 1930, 1940, 1950 ont développé ce qui est devenu le modèle québécois?
Pour se remonter le moral collectivement et continuer de garder le cap, ça fait du bien de mettre en évidence les bons coups, les initiatives inspirantes qui naissent de la situation actuelle. C’est dans des moments de grands changements et bouleversements que peuvent naître de la résilience collective et
Allons-y sans détour, après une gestion de crise apparemment bien contrôlée et éclairée, la pandémie de la COVID-19 a exposé de plus en plus douloureusement la vulnérabilité et les travers tenaces de la société québécoise dans ce qui apparaît comme un mal-être systémique.
Il me fallait écrire un article pour Nous.blogue… c’était (déjà!) mon tour d’y aller d’un couplet… Et je suis pris (les deux bras jusqu’aux coudes) dans un processus particulier d’accompagnement d’un organisme local, lui-même aux prises avec des difficultés plutôt éloignées des débats théoriques. Pourtant, j’ai trouvé appui dans
Je ne comprends pas que ceux qui croient que le Québec devrait être un pays ne mettent pas tous leurs efforts à contribution pour y arriver, que les chefs politiques qui appuient cette idée la mettent au second plan quand il s’agit de coalition et qu’ils préfèrent se diviser
Ce billet se veut un hommage aux personnes qui n’ont pas peur de s’investir malgré les embûches, les défis ou les malheurs, qui croient en leur potentiel et en celui de leur collectivité et qui persévèrent dans la réalisation de projets pour le bien commun.