Maïa Poulin

Est-ce que l’on peut parler de résilience quand une personne n’a pas ou peu de moyens financiers, par exemple? Ou au contraire, peut-on dire qu’une personne fait preuve de résilience quand elle a beaucoup de ressources à sa disposition?
La capacité individuelle et collective à s’adapter et à naviguer dans l’incertitude est devenue déterminante pour que les organisations et les écosystèmes ressortent plus forts de ces moments hasardeux. Qu’est-ce qui fait qu’on est résilient ou non? Comment développe-t-on notre résilience?
À quand remonte la dernière fois que vous avez dit avoir le temps, au travail? À la réponse: «Je suis à jour!» ou «J’ai du temps pour toi, aujourd’hui!», des regards incrédules se tournent… Entre les Zooms qui s’enchaînent du déjeuner au 5 à 7, en passant par un
Comitologie, réunionite, procédurite aigüe sont des maux qui touchent nombre d’organisations. Dans la perspective de rendre nos organisations agiles ou plus résilientes, notamment dans le contexte, pourquoi ne pas tenter l’exercice de réduire à l’essentiel?
La série « Nos années 20 » m’était plus qu’inspirante! Se positionner et poser un regard prospectif sur l’action collective de la prochaine décennie était une belle occasion de partager mes plus grandes aspirations pour ces futures années. À peine lancée dans l’espoir et la rêverie, les premières annonces de mesures